Catherine «Peach» s'ouvre sur l'avenir de sa carrière d'infirmière VS créatrice de contenu

Elle devra prendre une grande décision d’ici 3 ans.

Éditrice associée, Narcity Québec
Catherine « Peach » Paquin.

Catherine « Peach » Paquin.

Alors qu'elle a le vent dans les voiles avec sa compagnie de bijoux Appy et ses multiples projets, Catherine « Peach » Paquin a pris un moment pour jaser avec Karl Hardy et Cam DS dans le cadre de leur podcast La vie sociale. L'épisode qui a été partagé sur YouTube permet non seulement aux fans d'en apprendre plus au sujet de la théorie du bonheur selon Catherine, mais aussi sa vision sur le métier d'influenceur.euse ainsi que sa carrière dans le domaine de la santé.

Rappelons d'abord qu'avant de participer (et gagner) Occupation Double, celle qu'on surnomme « Peach » était infirmière. Elle est d'ailleurs retournée travailler dans les hôpitaux quelque temps pendant la pandémie et elle explique devoir prendre une décision pour la suite :

« Là je vis sur du temps emprunté, dans le sens où il me reste trois ans à me brancher parce qu'il faut que je retourne trois mois à temps plein, sinon je perds mes six années d'étude [...]. Je vais y penser peut-être un an et demi avant que ça arrive [...]. C'est soit trois mois à temps plein ou six mois à temps partiel, quelque chose comme ça [...]. Hey, c'est tough de faire le deuil d'autant d'années d'étude. »

Bien que ce choix représente un grand dilemme pour elle, Catherine confie qu'elle a toujours voulu oeuvrer au sein du milieu dans lequel elle se trouve actuellement, le showbiz : « Je demandais à mes parents des cours de radio, des cours d'acting, ils étaient dans le divan pendant des heures et je leur faisais des shows de n'importe quoi [...]. J'ai toujours su que je voulais faire ça puis même que, je le pitch à l'univers, mais j'ai l'impression que j'irais bien plus en publicité. »

Alors qu'elle multiplie les projets autant en tant qu'animatrice, quechroniqueuse, entrepreneuse et créatrice de contenu, ce qui la fait le plus vibrer, c'est de créer des publicités pour les entreprises qui l'approchent. Le terme « influenceur.euse » ne l'effraie pas :

« Influenceuse fois 1 000, no shame. Moi, avoir ma gang puis après ça, avoir les clients que je rêve de travailler avec eux depuis des années [qui]m'écrivent pour me dire "Crée une pub pour nous". De quoi tu parles! Là je m'assois, je crée la pub, je leur envoie et j'espère puis là chaque fois, bien ils aiment ça! »

« Il y a beaucoup de médias traditionnels qui ont une vision négative des influenceurs [...]. Ce mot fait très peur, mais moi je l'adore parce que qu'est-ce qu'on fait, même quand on ne fait pas de pub de crème ou peu importe, on influence », enchaîne-t-elle.

D'un autre côté, la gagnante d'OD Grèce confie que ses apparitions télévisuelles la préoccupent davantage :

« Chroniqueuse, c'est l'affaire que... T'sais, vous disiez vulnérable là, ça c'est ma bête noire parce que si je fais un tournage que je trouve qu'il [ne] s'est [pas] bien passé, même si tout le monde me dit que ça s'est bien passé [...], j'ai de la misère [...]. Les jours d'après, je me rappelle ce que j'ai dit, comment je l'ai dit, je ne voulais pas le dire de même... »

Dans le cadre de La semaine des 4 Julie, elle anime des segments où elle réalise des rêves et ça, bien que ça peut être plus stressant pour elle, c'est quelque chose qu'elle adore : « C'est tellement grandissant puis je retrouve mon feeling d'infirmière d'aider du monde. » La création de contenu et le fait d’exaucer des souhaits font donc partie des choses qui l'allument le plus.

À noter que l'écriture inclusive est utilisée pour la rédaction de nos articles. Pour en apprendre plus sur le sujet, tu peux consulter la page du gouvernement du Canada.

Laurie Forget
Éditrice associée, Narcity Québec
Laurie Forget est éditrice associée chez Narcity Québec. Elle est spécialisée en téléréalités, en plus de rester à l'affût des événements, et réside sur la Rive-Nord de Montréal.
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